Mensuel Shaarli
May, 2022
Human Rights Watch a analysé durant deux ans 164 outils numériques destinés aux élèves de 49 pays durant la pandémie afin qu’ils puissent continuer à suivre leurs cours. 89 % « surveillaient...
Dans l'ouvrage Un pognon de dingue, mais pour qui ?, Maxime Combes et Olivier Petitjean, de l'Observatoire des multinationales, dressent le bilan des aides publiques aux entreprises pendant le Covid, et des abus qui en ont découlé
Greenwashing, manuel pour dépolluer le débat public est un petit livre militant sous forme de dictionnaire qui en 24 entrées va vous rendre encore plus critique que vous n’êtes. Très basique …
Dans un livre paru en français en 2021, Jason E. Smith part du ralentissement de la productivité pour décrire une société où les emplois créés sont voués à subir une pression croissante sur le...
Cerises, poires, pêches ou kiwis contiennent des résidus de substances qui auraient dû être interdites depuis 2011, selon l’ONG Pesticide Action Network Europe.
l'étude est là https://www.pan-europe.info/resources/reports/2022/05/forbidden-fruit-dramatic-rise-dangerous-pesticides-found-fruits-and
Et du coup, bim : https://www.lemonde.fr/planete/article/2022/05/24/les-residus-de-pesticides-pourraient-annuler-le-benefice-sanitaire-des-fruits-et-legumes_6127426_3244.html
Mangez 5 fruits et légumes par jour qu'ils disaient...
Cela faisait un bail qu'on avait eu de nouvelles de Pixel de tracking, le revoilou avec un article, dont la démonstration pointilleuse, qui ferait pâlir la CNIL, impressionne toujours, sur le foutage de gueule que représentent les bannières de consentement
Plutôt que d’admettre l’inefficacité de la vidéosurveillance dans la lutte contre la délinquance, les industriels développent des logiciels d’analyse d’images pour détecter des comportements « ...
Le Shaarli de l'association Resnumerica
Le capitalisme est-il inéluctable ? Pas pour le sociologue Denis Colombi, et il nous explique pourquoi. Les indicateurs virent au rouge. (interview)
excellent ouvrage en cours de lecture
L’irruption de l’inflation conduit les élites politiques à remobiliser les récits des années 1970. Mais cette crise est d’abord une crise profonde du capitalisme contemporain, de ses impasses et de...
"Car en cherchant à tout prix à comprimer les salaires et en utilisant l’arme de la hausse des taux pour éviter une spirale de la demande qui n’existe pas, on risque de faire basculer l’économie mondiale dans un nouveau cycle de récession et de provoquer une crise financière. Sans pour autant combattre au reste les sources de l’inflation et des pénuries, qui sont les tensions d’organisation de l’offre et le développement des rentes."
Article suivant de Romaric : https://www.mediapart.fr/journal/france/230522/inflation-les-salaries-eternels-dindons-de-la-farce
Au sens moral comme programmatique, l’extrême centre est un extrémisme. Le président français pourra jouer de l’expression comme il le fait pour tant de syntagmes, en se disant lui-même d’« extrême centre » en pleine campagne électorale, et revendiquant, pour la neutraliser, l’étiquette qui l’accuse[1], il ne la désarçonnera pourtant pas comme il le souhaite. Celle-ci continuera de lui coller à la peau pour dire son fait d’auteur de politiques abusives et délétères.
L’idéologie d’extrême centre, dans laquelle nous nous enlisons, est extrémiste. Son programme est écocide du point de vue industriel, inique du point de vue social et impérialiste du point de vue managérial. Le projet de l’extrême centre : garantir la croissance des entreprises et l’augmentation des dividendes versés à leurs actionnaires ; leur assurer l’accès aux paradis judiciaires et fiscaux ; réduire l’écologie politique à un marketing du verdissement ; étouffer tout discours social de l’État et minimiser les dépenses publiques dans les secteurs sociaux et culturels.