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Comment protéger ses activités numériques de la surveillance et de la malveillance ? Un panorama didactique des solutions alternatives à la portée de tous.
Avec ce règlement, n’importe quel gouvernement européen pourra donc ordonner aux entreprises, situées n’importe où dans l’Union européenne (UE), de lui transmettre des données. Habituellement, et selon les règles actuelles de la coopération judiciaire européenne, lorsque des autorités cherchent à obtenir des preuves à charge contre un suspect mais que ces dernières sont situées dans un autre Etat membre de l’Union, elles doivent d’abord s’adresser à leurs confrères dans ce pays.
En pleine mobilisation contre le passe sanitaire, la nouvelle est passée relativement inaperçue. Elle n'est pourtant pas sans lien : depuis le mois d'août 2021, les cartes d'identité délivrées embarquent dorénavant un code en deux dimensions contenant les données d’état civil, l’adresse du domicile
Comment le laisser-faire sur les réseaux sociaux permet aux nationalismes populistes de propager la haine et le mensonge. Cette enquête dévoile la partie immergée de l'iceberg "fake news" dans quatre pays "écoles" : États-Unis, Inde, Brésil et Italie.
Via @Sebsauvage
Allé ! après le health data hub, le crisis data hub...vraiment magique cette solution des hubs !
Un problème avec l'education ? Pourquoi perdre son temps à revaloriser le metier d'enseignant, faites plutot un "education data hub", vous ferez des économies de moyen et en prime vous pourrez flicer le corps étudiant et professoral !
Et l'article de Basta : https://www.bastamag.net/Crisis-Data-Hub-rapport-senateurs-delegation-prospective-Tous-anti-Covid-OuiSNCF-Waze-vie-privee
Pendant que le combat continue pour faire interdire la surveillance dans nos rues, le secteur privé déploie discrètement ses dispositifs jusque dans les supermarchés. Afin de détecter de vols, Carrefour, Monoprix, Super U ou encore Franprix expérimentent des logiciels d'analyse biométrique pour surv
« La CEDH admet le principe de la surveillance électronique de masse », titre Dalloz Actualité. La Cour européenne des droits de l’homme a certes condamné la Suède et le Royaume-Uni, mais également estimé que la surveillance de ma...
"La critique de l’accélération numérique suite à la pandémie est nourrie [...] Mais ce que la crise sanitaire a plus accéléré encore, c’est bien la transformation numérique de nos existences"
Article remarquablement synthétique qui nous propose une liste de lecture pour mieux appréhender ce qui se joue en cette période trouble
Drones, vidéosurveillance avec reconnaissance faciale, géolocalisation des smartphones et logiciels de fichage se sont banalisés pendant la crise sanitaire, aux dépens des libertés. L’Observatoire des multinationales sonne l’alarme.
"algorithmes ont pour mission de collecter et d’analyser des métadonnées, c’est-à-dire toutes les informations périphériques donnant du contexte à un contenu. Ainsi, ces boîtes noires — l’autre manière de qualifier ces dispositifs — ne sont pas censées lire un message, mais peuvent savoir à quelle heure il a été envoyé, à qui, par quel moyen, depuis quel endroit, etc.
Ces programmes sont positionnés à des endroits pertinents du réseau, là où l’on peut voir du passage et du trafic, à avoir les hébergeurs et les fournisseurs d’accès à Internet. L’idée est de pouvoir repérer des « signaux faibles » pour anticiper une éventuelle menace et la neutraliser avant tout passage à l’acte. Au départ, ces algorithmes devaient s’arrêter en 2018, mais ils ont été régulièrement prolongés.
L’opacité autour de ces algorithmes fait que la Cnil ne peut pas « évaluer les bénéfices de cette technique de renseignement » et, par conséquent, se prononcer sur sa pérennisation "
On commence par utiliser des drones pour la surveillance de grands évènements, en dehors de tout cadre légal (en fait, contre le cadre légal qui impose depuis 1978 que toute personne filmée puisse en être informée) puis, comme on les a sous la main, on les utilise pour les manifs. Bon faut bien les rentabiliser, donc de fil en aiguille on commence à dresser des contraventions via drones interposés. Et si la CNIL pouvait ne pas s'en mêler, hein, ça nous arrangerait.
Esprit de contrôle quand tu nous tiens...
Énorme travail de déchiffrage d'Olivier Tesquet, journaliste à Télérama, sur les technologies de surveillance, un livre que je recommande de toute "urgence" ;)
Doit-on s'inquiéter de la surveillance sur Internet ? Série de 4 podcasts par France culture