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Malgré une victoire relativement nette dimanche, le score du président sortant s’atténue si on prend en compte le nombre total d’inscrits sur les listes électorales. Dans la même logique, Le Pen fait moins que le nombre d’abstentionnistes.
38,5% des inscrits pour Macron, bénéficiant d'un vote barrage, c'est pas brillant quand on voit que les abstentionnistes + vote blanc + nuls représentent 34,2% des inscrits. Il a de quoi se sentir "obligé"...
Voir aussi https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/04/25/presidentielle-2022-les-bulletins-blancs-et-nuls-cette-autre-france-de-la-colere_6123594_823448.html
Le retour du duel Macron-Le Pen semble dessiner une France incapable de bouger. Mais, malgré ses faiblesses, la gauche ouvre un nouveau front dominé par Mélenchon. Peut-être moins divisé qu’il n’y paraît.
"le programme de la gauche a l’assentiment de la communauté scientifique. C’est celui qui tente d’analyser les crises interconnectées du présent, celui qui tente d’y répondre en constituant une coalition sociale et électorale majoritaire autour de l’égalité et du climat."
Dans ces territoires utilisés comme boucs émissaires par les candidats de droite et d’extrême droite et où l’abstention domine largement, la gauche ne cesse de perdre des voix.
à mettre en regard de cet autre article https://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2022/article/2022/02/04/la-france-n-est-plus-la-france-les-envies-de-revanche-des-electeurs-d-extreme-droite_6112263_6059010.html
tristes perspectives pour une gauche qui ne parvient pas à se réinventer
En présentant un plan d’investissement en grande pompe et par un long discours, le président de la République a d’abord dessiné les grandes lignes de son programme électoral. Un programme marqué par le conservatisme social et environnemental.
Tiens, Pierre Januel, journaliste pointu sur les question du droit, écrit à Mediapart maintenant.
Bon papier sur la CNCCFP qui effectivement n'a pas les moyens adéquats à ses missions. Un commission qui est non permanente, a qui l'on demande de statuer dans l'urgence, avec peu de moyens.
"Une fois arrêté notre socle commun d’ambition pour la France, et pour les Françaises et les Français, il sera temps de réfléchir sereinement aux critères nous permettant de désigner celui ou celle qui nous représenterait tous lors de l’élection présidentielle"